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Après de nombreuses participations à des recueils, sites Internet ou blogues de 1994 à 2009, Nicolas F Paquin est lauréat du premier prix pour la légende Mathias et Félicité rédigée dans le cadre du concours Un Pont, une légende organisé par Parcs Canada en 2010. La même année, il publie les romans De Vice ou de mort et Banlieue blanche aux Éditions PopFiction. De 2010 à 2013, il signe une chronique hebdomadaire dans Le Canada Français.

 

En 2011, il est sollicité pour écrire Atours & Alentours, paru chez Broquet, et reçoit l’année suivante une bourse du Conseil des Arts et des Lettres du Québec pour un recueil de légendes urbaines, Ce qu'il ne faut pas dire, diffusé en 2013 au profit de la Fondation du Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu.
 

En 2013 est lancé son premier roman ados/adultes, le suspense Piégés aux Éditions du Phoenix.


Fort de sa rencontre avec plusieurs vétérans de la Seconde Guerre mondiale, il plonge de 2014 à 2016 dans le roman d'aventure historique avec un hommage aux volontaires de ce conflit, grâce à la trilogie Les Volontaires pour laquelle il reçoit une bourse du Conseil des Arts du Canada. En 2017, son roman Combattre dans l’ombre reçoit le prix du CALQ Œuvre de l’année en Chaudière-Appalaches. Il reçoit aussi le prix Philippe-Aubert-de-Gaspé pour sa contribution à l’histoire et à la littérature. Nicolas F Paquin participe à diverses tournées au Canada et en France où il raconte les témoignages de guerre qui lui ont été confiés.

 

En 2019, il crée le spectacle La Mémoire fane vite, initialement nommé Les Contes de guerre.

Nicolas F Paquin habite en Estrie. Il est membre de l'Union des Écrivaines et Écrivains Québécois (UNEQ) et de Culture Estrie.

nicolas f

         paquin

le créateur

écrivain + artiste

Je n'aime pas la guerre. 

        J'aime 
        inconditionnellement

ceux qui ont tout donné

pour l'arrêter.

                    - nicolas f paquin

Mon travail n’est pas historique, ni ethnologique. Il est essentiellement humain. Il vise à comprendre et à intérioriser les sentiments et les motivations des jeunes de cette époque, civils et soldats, jusqu’à ce que je parvienne à les ressentir tels qu’ils ont été vécus. Dans une deuxième étape, je les transmets au public par divers lieux d’expression et moyens de narration. Cette reproduction prend la forme d’écrits ou d’une galerie de portraits racontés dans une performance publique en constante évolution de contenu et de support.

 

Mon travail vise à cristalliser des émotions pour que celui qui les reçoit devienne un jeune face à la guerre tant qu’il est en contact avec mon œuvre puis, ensuite, que survivent en lui les souvenirs de cette expérience.

Nicolas est inscrit au programme La Culture à l'école

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